Contexte épidémiologique de Trichomonas vaginalis

  • Infection sexuellement transmissible cosmopolite, la fréquence de l’infection étant directement en rapport avec les habitudes sexuelles.
  • La transmission est le plus souvent directe par simple contact muqueux. Le parasite très fragile ne peut survivre dans le milieu extérieur. On ne lui connaît pas de kyste.

  • Les atteintes uro-génitales à Trichomonas vaginalis sont très fréquentes chez la femme (vulvo-vaginites). Chez l’homme elles sont le plus souvent asymptomatiques.